31 décembre 2006

L'annonce...

On n'y croyait plus (...mais si !)

Une assemblée sobre (2 bouteilles de champagne)
Un Marc qui apprend la manipulation du balai ; je doute toutefois de son efficacité en homme de ménage.
Des chefs doués, de nos terroirs agennais et breton.
De bons produits de nos fournisseurs favoris (gdetou par exemple, mais j'attends les autres références)
Une petite pincée de politique.
Quelques réminiscences des années 80.
Une bonne lampée de twister pour mettre de l'ambiance, chez les grands et les petits.
Quelques échanges de cadeaux entre rois mages.
A mélanger avec des rhums arrangés de Julien

= un réveillon très réussi (mais pas très vingtenaire, il faut bien l'avouer)

19 décembre 2006

Ma cousine "américaine"

est venue nous voir à Paris


avec mon cousin parisien... Merci à tous les deux d'être venus nous voir !
A bientôt j'espère.

18 décembre 2006

Notre future maison !

Dommage qu'elle ne soit pas à Paris...

17 décembre 2006

Marin croit-il au père Noël ?

Une chose est sûre : il souhaite y croire

La semaine dernière, nous ne sumes que répondre lorsqu'il nous interrogea sur l'existence du père Noël : sait-il et veut-il qu'on lui dise, y croit-il... Nous fumes évasifs.
Ce matin, tout exalté, il est remonté au 1er étage en me chuchotant fiévreusement, le père Noël est passé, il a mis des cadeaux dans nos chaussons.
Nous redescendons donc avec les loustics, c'est magique. Marin est ravi de son vélo et me dit
le père Noël est vraiment gentil. Il faut qu'on lui écrive un mot pour le remercier.
Timothée déballe scrupuleusement un à un ses jouets. Il est heureux et concentré. Marin reconnaît le babyfoot de table qu'on a transporté peu discrètement dans la voiture. "tiens mais c'est le même qu'on a mis dans la voiture". Plus tard dans l'après-midi, il me demande "mais c'est pour qui le babyfoot que vous avez amené en voiture". A croire qu'il y tient à l'existence du père Noël. Et pourtant il ne manque pas de logique au quotidien...

PS : la rédaction dudit mot est toujours en suspens. Un bon exercice d'écriture pour ces vacances de Noël (les bourreaux d'enfants)

16 décembre 2006

60 ans de Bernard

60 ans de Bernard

Et un bel amplificateur audio.




Nous allons au restaurant le Cerisier (à Laventie dans les Weppes). Le repas est très bon, malgré le service un peu lent (nous mettrons quelques détails plus tard). Nous avons une table avec vue sur les cuisines, au-deà d'un atrium.

Les poussettes désertées

Mais le gymnase plein à craquer

Pour les chants de Noël à l'école !
1. Noël c’est comm(e) un rythme de jazz
Ca commence tout doucement
On n’entend que la contrebass(e)
Comm(e) le cœur d’un petit enfant.

Refrain
Et sur ce rythme-là
NOËL !
Chantez tous avec moi
NOËL !
Chantez tout bas, tout bas
NOËL !

Les parents grognent car on ne voit pas leur progéniture. En effet, l'organisation n'est pas parfaite : il faudrait que les premiers
s'asseyent par terre et non sur les quelques bancs. On m'indique qu'une maman a une crise de nerf de ne voir ses enfants (vrai/faux ?). La salle est très sonore et je n'entends guère le chant des enfants sauf celle sus-citée.



Mais c'est sympa, les enfants sont heureux, c'est le principal. Marin est très complice avec son ami Victor.
Puis départ sur les chapeaux de retour pour Lille

14 décembre 2006

Liste du père Noël

Les enfants ont fait leur liste

Marin a demandé
- kapla (comme Timothée)
- monopoly (il a déjà)
- babyfoot (madre de dious, a-t-il remarqué que nous avons un appartement de 86m² - en comptant large - ?)
- billes geomax (il a déjà)
et en plus, si possible, une paire de rollers.

Depuis que nous avons résilié la télévision, il ne demande plus que des cadeaux que nous connaissons, génial ! J'ai essayé de savoir pourquoi il souhaite des jouets qu'il a déjà, mais il n'a pas su me l'expliquer.

Quant à Timothée, c'est presque un ascète, il ne demande que des kaplas.

10 décembre 2006

La chanson de Timothée

Il la chante tout le temps, même à ses moniteurs de ski...

Hugues Aufray
LE PETIT ÂNE GRIS

Écoutez cette histoire que l'on m'a raconté
Du fond de ma mémoire, je vais vous la chanter,
Elle se passe en Provence, au milieu des moutons
Dans le sud de la France au pays des santons
Dans le sud de la France au pays des santons.

Quand il vint au village y'avait un beau troupeau,
Les étables étaient pleines de brebis et d'agneaux,
Marchant toujours en tête aux premières lueurs,
Pour tirer sa charrette il mettait tout son coeur
Pour tirer sa charrette il mettait tout son coeur

Au temps des transhumances il s'en allait heureux
Remontant la Durance honnête et courageux
Mais un jour de Marseille des messieurs sont venus
La ferme était bien vieille alors on l'a vendue
La ferme était bien vieille alors on l'a vendue

Il resta au village, tout le monde l'aimait bien,
Vaillant malgré son âge et malgré son chagrin
Image d'évangile vivant d'humilité
Il se rendait utile auprès du cantonnier
Il se rendait utile auprès du cantonnier

Cette vie honorable un soir s'est terminée
Dans le fond d'une étable tout seul il s'est couche
Pauvre bête de somme, il a ferme les yeux
Abandonne des hommes il est mort sans adieu
Abandonne des hommes il est mort sans adieu

La la la la la la la la la la la la la
La la la la la la la la la la la la la
Cette chanson sans gloire vous racontait la vie,
Vous racontait l'histoire d'un petit âne gris
Vous racontait l'histoire d'un petit âne gris...

04 décembre 2006

Privée de dessert...

Non en fait de danse.
Je me suis fait une entorse.
Mais j'aurai droit au ski, s'il neige (?)

26 novembre 2006

La gorge aux chats





Quelques blocs, trop difficiles pour moi !


Une belle journée s'annonce, nous n'avons pas organisé de brunch et préférons profiter du temps magnifique pour pique-niquer et grimper à Fontainebleau.

Un apprenti et son maître jedi dégustent leur salade composée (chou rouge, ébly, tomate, noisettes, salade, maïs, fromage).







Dans l'ombre, la lumière. Des effets surprenants.








Le soir, Paul-Antoine et Timothée vont chercher Alphonse et Marie-Pascale pendant que Marin lit Astérix. PA fait un essai de "billes de petits pois" avec les produits de Gdetou. Marrant mais à améliorer encore (peut-être acheter des petits pois extra-fins plutôt que des bios!).

25 novembre 2006

Samedi parisien

Des kilomètres dans Paris

Nous programmons de visiter l'exposition "Venise et l'Orient" à l'Institut du Monde Arabe qui nous a tenté il y a 2 semaines.

Pour préparer notre week-end du nouvel-an, nous avons également décidé de rendre visite auparavant à ce qui est devenu notre magasin alimentaire chouchou (grâce aux nombreux blogs culinaires), à savoir GDetou (près de la rue Montorgueil).


Le matin, Paul-Antoine fait quelques courses sur le marché Edgar Quinet afin d'acheter quelques citrons confits pour un tajine. Pendant ce temps, les garçons raffinent les techniques expérimentées lors de l'animation kapla du centre de loisirs mercredi dernier.

Puis pour préparer notre expédition culinaire, nous regardons quelques sites d'ingrédients de cuisine moléculaire. Nous découvrons alors sur le site de chef simon que ce dernier fait une démonstration de cuisine au Bon Marché toute la journée.

Nous nous empressons de nous y rendre, le chef vient à peine de déballer ses outils. Il est très gentil, un peu timide et nous sommes ses premières groupies. en chair et en os.
Cela lui fait plaisir de rencontrer des "lecteurs"PA continue la leçon du tian de légumes, pendant que je laisse les garçons s'égayer dans le jardin d'à-côté car ils ont besoin de se dépenser (un doux euphémisme).
Avec tous ces préludes, nous ne gagnons qu'à 12h45 Jussieu (quelle tristesse ce bâtiment à moitié démoli sur un tel emplacement). Nous montons donc directement au dernier étage de l'IMA pour y déjeuner, côté self-service et non pas restaurant où les tarifs sont adaptés à la qualité de la vue : majestueux. Le self-service est très correct, nous nous régalons de couscous aux boulettes et merguez et de thé à la menthe.
Puis nous regagnons l'entrée de l'exposition. L'exposition est intéressante pour les deux adultes mais laisse indifférents les enfants, seule l'épinette trouve grâce à leurs yeux.

A chaque étape , Timothée collectionne les feuilles pour les apporter à sa maîtresse. Honte à nous, nous nous empressons de les faire disparaître aussi vite. Pour garder bonne conscience, nous en gardons un petit souvenir numérique.



Nous traversons l'île Saint Louis, le quartier du Marais, le quartier des halles. Quelle différence d'atmosphères, cossue tranquille, historique branchée, grouillante commerçante !




Nous atteignons Gdetou au bout de ce périple.
Les commerçants sont... toujours aussi commerçants ! Et nous sommes enclins à nous laisser tenter, fondants, foie gras, marrons glacés, arômes, billes de chocolat... Surprise, Nathalie, la première baby sitter de Marin, nous reconnaît dans le magasin.



24 novembre 2006

Nouveau gadget

Avec le nouveau joujou, on scan à toute vitesse.




18 novembre 2006

PIPELETTE

Taisia la pipelette

Nous décidons en dernière minute d'aller voir une pièce de théâtre, Taisia la pipelette. La pièce se joue jusqu'au printemps prochain. Le tarif est très raisonnable (8€, on peut obtenir 5€ en réservant à l'avance par Internet). La salle toute petite n'est pas très remplie. Un groupe fête son anniversaire et est déchaîné, nos enfants ont l'air d'images à côté. Enfin presque. Lorsque le comédien nous interroge sur le jour de la semaine, Timothée est convaincu d'être dimanche et n'en démors pas, et sa petite voix répéte de façon persistante "non on n'est pas samedi, on est dimanche". La pièce est mignonne, cependant en tant qu'adulte je n'ai pas adhéré à tous les moments (le jeu, un peu criard parfois pour évoquer les enfants, m'est agressif). En revanche j'ai bien aimé, grâce à la taille de la salle, la proximité avec les acteurs et l'interactivité, et les bruitages musicaux de la voix. Cette pièce est bien adaptée aux enfants à partir de 5-6 ans, Timothée est un petit peu jeune. C'est l'histoire d'une pipelette qui fatigue tout le monde avec sa volubilité (Marin ?), elle apprend peu à peu qu'il existe d'autres moyens de s'exprimer qu'avec la langue, et que l'important c'est le "langage du coeur".
Marin a apprécié mais il nous dit qu'il a préféré Azur et Asmar.

12 novembre 2006

Un dimanche bien rempli

Nous renonçons à aller jusqu'à Fontainebleau car il a plu tôt le matin. Il fait désormais très beau. Déjeuner tôt vers 11h30, passage par les soldes de costume pour Paul-Antoine vers Saint-Germain. Nous enchainons vers Truffaut quai de la rapée où nous écoulons les chèques du CE de Noël de France Telecom 2005. Au passage, devant l'institut du Monde Arabe, l'exposition "Venise et l'Orient" nous tente, et il n'y a pas de queue. Visite rituelle aux animaux du sous-sol. Achat de 2 petits palmiers de Hawai. Nous améliorons l'état du balcon, en particulier avec notre grand cyclamen.
Julien emmène les enfants voir Azur et Asmar au Gaumont Parnasse. Apparemment Timothée a été impressionné par le dessin animé. Puis nous voyons Edith, Bernard et Agnès de retour de leur week-end chez les Dorn.

05 novembre 2006

Dernier jour au Cap Ferret

La température a considérablement remonté

Je n'ai pas pris par décence de photographie de Paul-Antoine en caleçon, mais vous nous croyez n'est-ce pas ?
Le nouveau château avait cette fois résisté à la destruction, et nous l'avons fortement consolidé et enjolivé.
Départ à 16h00, dur de quitter les pins et le soleil pour affronter la route. Heureusement, nous avons seulement quelques embouteillages après le péage de Saint Arnoult et nous arrivons
à Paris à 22h30 (et 1 mini-pause ).

04 novembre 2006

2ème château de sable

Face à l'Océan, sur fond de bunker taggé

La marée était très haute. Nous arrivons juste à temps pour voir le château de la veille, assailli, rompu, détruit par la mer.

Enthousiasme et prudence.

Nous ne nous décourageons pas et persévérons...un peu plus en retrait de l'eau.






Les petits ouvriers affrontent la mer au péril de leurs chaussettes et pantalon mouillés. Et pourtant il fait froid !







Nous repartons et du haut des caillebotis qui traversent les dunes nous voyons les restes de notre précédent château se faire entièrement détruire...
SNIF

03 novembre 2006

Premier château de sable

La mer à l'assaut du château
Nos petits chevaliers sont encerclés par la marée. Le château est bien fortifié sous les conseils de leur ingénieur de père.

29 octobre 2006

Le Val d'Escreins

Une très belle vallée glaciaire

Changement d'heure !


Sur les conseils de la propriétaire du gîte, nous allons visiter le val d'Escreins, dans le parc naturel régional du Queyras.

Nous prenons notre pique-nique dans l'une des deux boulangeries de Mont Dauphin, toutes deux ouvertes le dimanche. Décidément nous sommes séduits par le lieu qui non seulement est dans un cadre magnifique mais n'est pas totalement "mort" en cette basse saison.

Route panoramique sur le chemin de Vars.


La vallée est très isolée et calme. Le site doit être très fréquenté en été étant donné le nombre de parkings. Nous nous arrêtons au niveau des ruines du village de "Basse Rua".



Nous parcourons le circuit pédagogique bien adapté aux parents et aux enfants. Il parcourt les différents types de paysages en boucle autour de l'ancien village et du torrent du Rif Bel.



Marin ici étudie comment le pic décortique les pommes de pin pour en extraire les graines

Nous apprenons à différencier Epicéa, Mélèze, Pin. (Voir notre future page sur les différents arbres).



Au passage nous faisons cueillette de bolets jaunes d'or dont nous ramenons un plein sac jusqu'à Paris.






Au retour nous admirons le somptueux panorama sur le site de Montdauphin.







Nous croisons un berger et son troupeau.







Puis nous faisons une petite séance d'escalade dans les blocs de "poudingue" au pied du fort, le long du fameux sentier des marmottes que nous n'aurons finalement pas parcouru. De toutes façons les petites bêtes sont déjà endormies. Nous avions déjà testé le site l'an dernier, très accessible et agréable avec les enfants.



Le soleil y darde ses rayons jusqu'en fin d'après-midi théoriquement, mais un vilain nuage nous le masquera pendant quelque temps.


Merci au gîte qui nous permet de garder la chambre et de nous préparer tranquillement.


Nous dinons, très tôt (18h50) au restaurant "L'auberge de l'échauguette" dans la vieille ville de Montdauphin. Les restaurateurs sont très sympathiques et le repas très goûteux. Soupe de potiron ; assiette tout agneau ; pâtes aux cèpes et magrets.

Retour sur les chapeaux de roue vers la gare. Départ à 20h50.

28 octobre 2006

Une journée à Freyssinières


La vallée de Freyssinières


Cette vallée donne dans le massif des Ecrins et se prolonge vers Dormillouse, le seul village habité du parc des Ecrins.


Les couleurs d'automne sont somptueuses et transparentes.


Nous montons sur les hauteurs de Freyssinière, nous traversons le village des Roberts. Nous faisons une partie du chemin en voiture. Nous tentons de couper par le GR, mais les enfants sont vite découragés par la pente du chemin, et préfèrent continuer sur le chemin carrossable.

Ramassage de batons, lancer de cailloux, collecte de feuilles..., notre vitesse horaire n'est pas très élevée.





Nous rejoignons Les Aujards, un village en cours de rénovation. Le village est très préservé, nonobstant les toits de lauze et d'ardoise qui sont remplacés par des toits de tôle.

Nous nous arrêtons au niveau des alpages. Séance d'attrapage de sauterelles.






En fin d'après-midi nous tentons d'explorer le site d'escalade de la "grande falaise", qui est tout proche de la via ferrata de Freyssinière. Le chemin est à flanc de falaise et nous permet d'admirer le panorama. Les falaises sont impressionnantes et un peu trop difficiles pour nous : de grande hauteur et très verticales. Surtout dans la première partie l'espace au bas de la falaise n'est pas très accessible aux enfants : pentu et boisé.

Nous achetons au retour 1kg de miel de Freyssinière.