21 janvier 2007

Pas mal, non ?

Cette brioche "kugelhopf"

D'après Paul-Antoine et Timothée (et moi), elle ressemble à une bonne brioche de pâtissier. D'après Marin, pas du tout.
J'ai suivi la recette de Valérie (voir ici sa recette) et les conseils de Sandra (sur le blog du pétrin, merci pour les équivalences levure sèche, levure fraiche). J'ai adapté simplement en mettant les noix de pécan et un peu plus de raisins secs, et j'ai mis du lait de vache et non un lait de céréales et j'ai laissé lever la 1ère fois toute la nuit. C'est ma deuxième expérience mais la première qui a un vrai goût et une texture de brioche. Le truc de pétrir longuement avant d'ajouter la matière grasse est certainement décisif.

La pensée du jour...

Il n'y a que des enfants sur terre.
Il n'y a eu que que deux personnes sur terre qui n'étaient pas des enfants.

Marin
Pourtant il ne va pas dans une école fondamentaliste ...

14 janvier 2007

Un dimanche calme et ensoleillé

Et un temps inhabituellement doux

Après quelques visites de cheminées le samedi, un dimanche calme de cuisine (millefeuille..., pot au feu et saint jacques). Nous n'avons pas mis nos projets d'escalade à What's up à exécution. Nous avons lézardé au soleil puis au feu, lu des BD, fait quelques jeux de société.

Timothée décortique ses crevettes. Attention ne le déconcentrez pas (;-)).










Et Julien ne pourra plus affirmer qu'il ne fait jamais la sieste




Après la galette, le millefeuille

Mmmmh...

D'après Marin, crème (vanillée au rhum) : 10/10 ; pâte feuilletée : 4.5/10. Soyons honnêtes, même si j'ai fait la crème pâtissière, cela ne reflète pas la réalité. Le plus grand mérite revient à notre chef de la pâte feuilleté, Paul-Antoine, qui avait réussi à la feuilleter et caraméliser légèrement.

972 feuilles pour être précis, nous considérons qu'il a droit à l'appellation mille-feuilles. Marin est très attentif car il a repéré la crème à la vanille. Il se porte volontaire pour lécher la spatule.



Bien sûr, une poche à douille eut été d'un maniement plus aisé. Néanmoins le millefeuille se tient. L'astuce de Michel Guérard, publiée dans Le Monde2, est efficace : le découpage au couteau électrique.

Cela nous donne des tranches bien régulières, un saupoudrage de sucre glace et on croirait les millefeuilles du Moulin de la Vierge (ou de Croquet paraît-il, mais je ne les ai pas goûtés).

07 janvier 2007

Histoire sans parole

D'une galette bien faite avec du beurre dedans

Tiens Timothée ne nous la chante plus trop en moyenne section.
















2 fèves gagnées par Marin.





Pas vraiment par hasard.
La galette est peut-être moins esthétique que celle de l'année précédente, mais Julien pourra le confirmer, elle est bien feuilletée et goûte le beurre.

Tintin et Marin

Lecture des premières planches du "lotus bleu"

Dimanche matin, après un passage éclair au marché du boulevard Raspail, nous prenons le métro en direction du centre Pompidou. L'ouverture est à 11h00, nous sommes là à 11h10 et la queue, longue, zigzague jusqu'à l'extérieur du parvis. Heureusement, le premier dimanche du mois le musée est gratuit, nous avançons donc rapidement. En 10 minutes nous y sommes.
L'exposition est intéressante mais pas immense, nous nous réjouissons d'être arrivés tôt car 15 minutes plus tard l'accès est restreint.
L'exposition est organisée en deux parties, une partie thématique dont deux rubriques m'ont particulièrement plu :
  • la planche qui montre les étapes de la création d'une BD à travers de deux planches de "on a marché sur la lune". Dessins préparatoires, esquisses avec le remplissage des cases, crayonné, encrage, coloriage, écriture des textes...
  • les caricatures d'Hergé faites par lui-même, notamment la planche de "Quick et Flupke?"
L'espace qui reprend toutes les planches, en première édition, du lotus bleu nous permet de laisser Marin pour découvrir les autres points de l'exposition.
La vidéo semble intéressante mais le volume sonore est trop bas, c'est donc inaudible. Au rez de chaussée est présentée la partie chronologique avec quelques faits amusants.
Personnellement, j'aurais peut-être préféré encore plus d'exégèse sur les personnages, leur évolution entre les BDs, etc.

A la grande joie des enfants nous empruntons ensuite les escalators. La faim nous tarraude, nous décidons de déjeuner en haut, malgré les prix élevés (prohibitifs ?). Le soleil magnifique nous convainc de rester puisque nous pouvons bénéficier d'une table au bord avec vue sur le parvis.
Le décor est réussi, le service efficace et les plats sont servis rapidement. Mmmh les makis végétariens, les nems, le tartare avocat thon. Le clou est le cheesecake et son sorbet fromage blanc, à copier ! Marin picore dans mon assiette et a du mal à ne pas dévorer toute la croûte sablée, moi je fonds pour le coeur, coulant et onctueux. La visite aux toilettes vaut le détour également.

Une petite vue de la tour Eifel dont les enfants nous réclament la visite (Timothée en ascenseur, Marin en escalier).




A la sortie nous applaudissons un saltimbanque dont le petit spectacle captive les foules. J'accompagne ensuite les enfants davant la gare Montparnasse au manège offert par la ville de Paris. Ils font 7 tours (la foule est très raisonnable), nous regardons les patineurs et nous rentrons.

06 janvier 2007

Kapla en suspension

Le pont avant son édification complète

Un magnifique pont à 2 étages. Fruit de la collaboration active de Gaëlle, Marin et Paul-Antoine, et de l'assistance de Timothée. Il résiste 5 minutes aux coups de boutoirs des deux véhicules autoporteurs de nos loustics et s'effondre lamentablement avant son immortalisation numérique (ciel un oxymore). Je n'ai donc même pas l'occasion de voir le chef d'oeuvre dont je n'ai bâti que le premier étage.

03 janvier 2007

Une image de carte postale

Pour nous faire pleurer notre départ...

Ah cette poudreuse idyllique ! Ce soleil narquois !
Julien, même démuni de son BAFA, a fait le GO et a organisé
  • luge
  • courses
  • et bonhomme de neige (admirez les cheveux - saurez-vous répondre à l'ardue question : combien de jours va-t-il rester)
Ce chalet était décidément fort bien choisi (merci Helen) . 80 m2 d'amitié et de bonne humeur, une louche de fatigue et quelques éléments naturels ligués contre nous !
Notre descente est plus tranquille que celle endurée par nos colocataires la veille, nous ôtons les chaînes au tiers du trajet. Un flot continu de voitures ne cesse de nous emmailloter jusqu'à Paris... Les joies de la vie parisienne