La circulation est encore anarchique à Lombok, vélos lourdement chargés, d'herbes (celui-ci revient d'un champ de riz) ou de victuailles variées (voire de cages d'oiseaux), mobylettes où s'entassent 3-4 personnes, taxi bemo, voitures et camions. La conduite à gauche ajoute au dépaysement.
Nous pensons qu'il serait agréable de pédaler dans ce coin, mais la succession de raides montées et de descentes aidant, nous n'en sommes plus tant convaincus. Les baies somptueuses et quasi désertes se succèdent.
De nombreuses maisons sont encore construites en pailles tressées et en chaume, ou en tuile. L'architecture est plutôt jolie. Les mosquées font partie des rares bâtiments très bétonnés, parfois en état neuf, parfois très partiellement édifiées.
Les bestioles sont là. Les chiens sont étonnament passifs. Poules et poulet traversent la route. Des vaches microscopiques (mais non faméliques) paissent sur le bord des routes. Non seulement les volailles mais leurs nids font sursauter les enfants
Plus nous nous rapprochons des contreforts du Rinjani, plus les cultures de riz sont présentes.
Au départ du trek sur le volcan qui culmine à 3500 m, le déluge qui menaçait s'abat sur nous. Nous nous réfugions dans un petit resto où les plats de nouilles et de riz sauté valent entre 1 et 2€. Les chemins sont impraticables en cette saison.
Nous renonçons à la découverte de la cascade et remontons notre voiture, après avoir bravé les 15 cm d'eau qui entourent désormais le véhicule. Heureusement que nous avons nos sandales de baroudeurs en plastique !
et de ses rizières
La circulation est encore anarchique à Lombok, vélos lourdement chargés, d'herbes (celui-ci revient d'un champ de riz) ou de victuailles variées (voire de cages d'oiseaux), mobylettes où s'entassent 3-4 personnes, taxi bemo, voitures et camions. La conduite à gauche ajoute au dépaysement.
Nous pensons qu'il serait agréable de pédaler dans ce coin, mais la succession de raides montées et de descentes aidant, nous n'en sommes plus tant convaincus. Les baies somptueuses et quasi désertes se succèdent.
De nombreuses maisons sont encore construites en pailles tressées et en chaume, ou en tuile. L'architecture est plutôt jolie. Les mosquées font partie des rares bâtiments très bétonnés, parfois en état neuf, parfois très partiellement édifiées.
Les bestioles sont là. Les chiens sont étonnament passifs. Poules et poulet traversent la route. Des vaches microscopiques (mais non faméliques) paissent sur le bord des routes. Non seulement les volailles mais leurs nids font sursauter les enfants
Plus nous nous rapprochons des contreforts du Rinjani, plus les cultures de riz sont présentes.
Au départ du trek sur le volcan qui culmine à 3500 m, le déluge qui menaçait s'abat sur nous. Nous nous réfugions dans un petit resto où les plats de nouilles et de riz sauté valent entre 1 et 2€. Les chemins sont impraticables en cette saison.
Nous renonçons à la découverte de la cascade et remontons notre voiture, après avoir bravé les 15 cm d'eau qui entourent désormais le véhicule. Heureusement que nous avons nos sandales de baroudeurs en plastique !
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